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À travers ce merveilleux patrimoine, nous laissons ces trésors connus ou inconnus de la région Poitou-Charentes se révéler à nous.
Dans la crypte de l'église Saint-Europe de Saintes, nous évoquons les origines de l’art roman en Poitou-Charentes avec Christian Gensbeitel, qui nous raconte l’évolution de cet art sur deux siècles, et aborde ses différentes formes d’expression. Nous poursuivons notre discussion à Poitiers, devant l’église Notre-Dame-La-Grande, où Christian Gensbeitel évoque plus spécifiquement la sculpture et la peinture romanes.
Nous continuons cette découverte de l'art roman en compagnie de Rémy Prin, qui nous raconte avec passion la sculpture romane d’Aulnay, considérée comme une des réalisations majeures de l’art roman et comme une des plus belles représentations de l’imaginaire médiéval.
Cette balade se conclut à l’abbaye de Saint-Savin, où nous rencontrons Marie-Anne Lacaille, qui évoque avec nous les splendides peintures qui ornent cet édifice. Ensemble, nous nous imprégnons de la « Sixtine de l’art roman », classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
Christian Gensbeitel, maître de conférences en histoire de l'art du Moyen Âge à l'université Michel de Montaigne-Bordeaux 3, ancien directeur de l’atelier du patrimoine de Saintonge à Saintes.
A travers l’écriture d’ouvrages, il a à cœur de valoriser le patrimoine roman de sa région et de l’ouvrir au plus grand nombre.
Rémy Prin, scientifique de formation, poète et écrivain amoureux du monde roman.
Ses ouvrages voyagent à travers les lieux et les patrimoines de l’art roman, en quête de leur pertinence contemporaine.
Marie-Anne Lacaille, médiatrice du patrimoine de l’abbaye de Saint-Savin.
Son expertise réside notamment dans l’explication des codes et du langage de l’image médiévale.
L'église Notre-Dame la Grande à Poitiers : une architecture nouvelle
L'église Notre-Dame la Grande à Poitiers, dans la Vienne, est un des plus célèbres monuments romans de Poitou-Charentes. Mentionnée dès le 10e siècle, elle cumulait les fonctions d'église paroissiale (pour les habitants de la paroisse) et d'église collégiale (desservie par des religieux, les chanoines). Elle est reconstruite dans les années 1030/1080. Par son plan et son couvrement entièrement en pierre, elle est un exemple de la nouvelle architecture religieuse qui se développe au 11e siècle.
Construit en premier, au-dessus d'une crypte, le chœur est conçu selon un plan novateur : il est entouré d'un déambulatoire (couloir demi-circulaire) sur lequel ouvrent trois chapelles. Ceci permet de multiplier les autels et donc les messes des chanoines, à qui l'espace est réservé.
La nef, qui accueille les paroissiens, était prévue pour être charpentée. Les constructeurs ont décidé, en cours de travaux, de la voûter. Ils ont couvert le vaisseau central d'une voûte en berceau plein cintre et les collatéraux, de voûtes d'arêtes presque aussi hautes. Ce mode de couvrement, fréquemment utilisé par la suite en Poitou, permet un contrebutement mutuel des voûtes.
Le principal décor de l'église du 11e siècle, celui qui porte le message religieux, est alors peint. Réalisé dans la seconde moitié du siècle, il subsiste dans la crypte et sur la voûte du chœur, où sont représentés la Vierge à l'Enfant, le Christ en majesté, l'Agneau, ainsi que les apôtres. Les peintures actuelles de la nef datent quant à elles du 19e siècle.
La sculpture, principalement décorative, orne les chapiteaux des piliers. Elle s'inspire de l'Antiquité (chapiteaux corinthiens) dans le chœur et évolue en motifs végétaux originaux dans la nef. Parmi les rares chapiteaux figurés, celui de l'Ascension du Christ est le plus ancien chapiteau historié conservé en Poitou.
La façade actuelle a été réalisée dans les années 1115/1130, suite à l'agrandissement de la nef vers l'ouest. Elle présente un ensemble sculpté remarquable, qui témoigne de l'essor de la sculpture au 12e siècle. Le programme sculpté, exceptionnel par son abondance et sa qualité, est une affirmation de la foi chrétienne et fait la part belle aux scènes figurées. La plus célèbre est la frise du rez-de-chaussée qui illustre l'histoire de l'Incarnation depuis Adam et Ève jusqu'à l'Enfance du Christ.
L'église Saint-Eutrope à Saintes : une sculpture innovante
Attestée dès le 6e siècle, l’église Saint-Eutrope à Saintes, en Charente-Maritime, est construite autour du tombeau de saint Eutrope. Ce saint est, selon la tradition, le premier évêque de Saintes, et l'évangélisateur de la Saintonge. À la fin du 11e siècle, les moines de l’abbaye de Cluny reconstruisent cette église dans de grandes dimensions et selon un plan atypique : une longue nef, un transept et un chœur profond qui s'élève sur une vaste crypte qui accueille, en 1096, les reliques du saint. Cette église romane est largement remaniée et mutilée au cours des siècles suivants. Dans les parties qui subsistent aujourd'hui (la crypte, le chœur et le transept), de remarquables chapiteaux sculptés témoignent de l’évolution de la sculpture romane entre la fin du 11e et le début du 12e siècle.
Les chapiteaux de la crypte et du chœur ont été réalisés à la fin du 11e siècle. Ceux de la crypte, au nombre de 53, sont ornés de compositions végétales. Les artistes romans ont sculpté des palmettes, des acanthes, des rinceaux... Les feuillages recouvrent fréquemment les angles et envahissent la totalité de la corbeille avec symétrie. Ces motifs sont issus du répertoire décoratif des monuments antiques et font d’ailleurs penser, pour certains, aux sculptures des édifices romains qui ont été conservées à Saintes. L'ancien chœur présente des chapiteaux similaires à ceux de la crypte, hormis trois chapiteaux, ornés de sirènes, de lions et de griffons, qui affichent des parentés de style avec la sculpture du Poitou.
Le transept a été réalisé quelques années après la crypte et le chœur, au début du 12e siècle. Les sculpteurs y ont fait preuve d’innovation, en créant de nouvelles formes que l'on retrouve à cette époque dans d'autres arts, notamment dans les enluminures des manuscrits. Ils ont orné les chapiteaux d'hommes, d'animaux et de végétaux entremêlés ou superposés. Deux chapiteaux illustrent des scènes religieuses, le Pèsement des âmes et Daniel dans la fosse aux lions, ce qui est alors une nouveauté en Saintonge. Les chapiteaux du transept sont à l’origine d’un courant artistique que l'on retrouve à proximité, à l'abbaye aux Dames de Saintes, et qui s’est répandu dans toute la Saintonge et au-delà. Ils illustrent l’évolution importante que connaît la sculpture romane au début du 12e siècle.
L'église Saint-Pierre à Aulnay :
un livre d'images de pierre
L'église Saint-Pierre d'Aulnay, en Charente-Maritime, construite au début du 12e siècle, fait partie, avec l'église Notre-Dame la Grande de Poitiers et la cathédrale d'Angoulême, des édifices de Poitou-Charentes où la sculpture romane est la plus aboutie.
L'église Saint-Pierre, commanditée par les chanoines de la cathédrale de Poitiers, présente des qualités exceptionnelles : une architecture équilibrée, une sculpture de grande qualité (conservée dans sa quasi totalité) et un programme religieux ambitieux. S'appuyant sur les innovations des sculpteurs de l'église Saint-Eutrope à Saintes, les artistes d'Aulnay perfectionnent la sculpture et la développent à profusion sur le monument, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Celle-ci occupe désormais la façade, les portails, les baies, les corniches... Ces images de pierre deviennent dès lors le vecteur principal du message religieux.
Cette riche ornementation a été réalisée par trois ateliers de sculpteurs. L'un d'eux est intervenu sur le chevet, dans le transept, ainsi que sur le portail sud. Les quatre rouleaux de ce portail sont ornés d'animaux dans des rinceaux, des Vieillards de l'Apocalypse, de saints et d'un célèbre bestiaire, cortège d'animaux réels ou imaginaires représentés avec verve dans un style animé. Dans le transept, plusieurs chapiteaux historiés représentent notamment Adam et Ève, Caïn et Abel, Samson et Dalila...
Les chapiteaux de la nef témoignent du travail d'un deuxième atelier. Ces chapiteaux sont agrémentés d'animaux, de végétaux et de masques humains. Les motifs sont souvent disposés symétriquement, dans la recherche d'une composition équilibrée, simplifiée, qui en facilite la lecture.
Le décor de la façade ouest a été réalisé par un troisième atelier, dont le style se caractérise par l'élégance des figures élancées, des sculptures de grande taille au relief prononcé, qui suivent les courbes des rouleaux. Sur la voussure du portail sont illustrés l'Agneau entouré d'anges, le combat des Vices et des Vertus, les Vierges sages et les Vierges folles et le Zodiaque. Ce portail est encadré par deux arcades aveugles aux tympans sculptés. Sur celui de gauche est représentée la Crucifixion de saint Pierre.
Le rayonnement de la sculpture d'Aulnay est particulièrement visible en Saintonge, comme en témoignent les églises de Chadenac ou de Fenioux, et dans les régions voisines.
L'église de Saint-Savin :
la « Sixtine de l'époque romane »
L'église de l'ancienne abbaye de Saint-Savin, dans la Vienne, est un des plus importants monastères bénédictins du Poitou au 11e siècle. Elle est ornée de peintures murales qui font sa célébrité depuis leur découverte par Prosper Mérimée, dans les années 1830. Classé en 1840 sur la première liste des monuments historiques, cet édifice majeur de Poitou-Charentes, surnommé par André Malraux la "Sixtine de l'époque romane", est inscrit au patrimoine mondial depuis 1983.
Cet ensemble de peintures est un des plus vastes conservés en Europe pour l'époque romane. Il est le fruit du travail d'un seul atelier qui serait intervenu vers 1100, peu de temps après l'achèvement de l'église.
Les peintures recouvrent le clocher-porche, la nef, le chœur et la crypte. Si elles embellissent la « maison de Dieu », elles accompagnent d'abord et avant tout les moines dans la prière et dans les processions.
Dans le clocher-porche sont représentées, au rez-de-chaussée, des scènes de l'Apocalypse et, à l'étage, des épisodes de la Passion et de la Résurrection du Christ. Les vies légendaires de saint Savin et saint Cyprien sont illustrées dans la crypte.
C'est dans la nef, haute de plus de 17 mètres, que se trouve le programme le plus développé. Il se déploie sur toute la voûte, soit 460 m2. À l’exception de rares scènes de genre et d'éléments décoratifs (arbres), il illustre les histoires les plus importantes de la Genèse et de l'Exode, premiers livres de la Bible : Adam et Ève, Caïn et Abel, Noé, Abraham, Joseph, Moïse...
Les peintures de la voûte sont organisées en cinq frises longitudinales : une bande centrale décorative est entourée, de part et d'autre, de deux frises historiées superposées, larges chacune de 2,50 m. La plupart des personnages sont ainsi représentés plus grands que nature.
Ce programme est lié à la liturgie (pour certains auteurs, il s'agirait de celle relative à Pâques). Ainsi, l'ordre des scènes ne suit pas toujours celui des textes bibliques.
Ressources
Les rencontres
- À Chauvigny, Christian Rémy, historien, nous fait découvrir la féodalité et nous raconte la vie des seigneurs, ainsi que la construction des châteaux
Télécharger le texte - À l’abbaye de Marcillac-Lanville, Lætitia Copin-Merlet, directrice de l’association Via Patrimoine, évoque le pouvoir religieux, les nombreuses constructions d’églises, ainsi que les pèlerinages, les paysans et le développement économique.
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Les focus
- Les comtes de Poitou
Télécharger le texte - Les seigneurs : « ceux qui combattent »
Télécharger le texte - Les châteaux romans
Télécharger le texte - L’Église et les religieux : « ceux qui prient »
Télécharger le texte - Les paysans, les artisans, les marchands... : « ceux qui travaillent »
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Les rencontres
- Dans les églises Saint-Eutrope à Saintes et Notre-Dame la Grande à Poitiers, Christian Gensbeitel, maître de conférences en histoire de l'art du Moyen Âge à Bordeaux, évoque l'art roman, ses sources et ses différentes formes d'expression.
Télécharger le texte - À l’église Saint-Pierre d'Aulnay, Rémy Prin, poète et écrivain, nous fait partager sa passion pour le monde roman et l'exceptionnel travail des sculpteurs.
Télécharger le texte - À l’abbaye de Saint-Savin, Marie-Anne Lacaille, médiatrice du patrimoine, nous révèle les remarquables peintures murales classées au patrimoine mondial.
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Les focus
- L'église Saint-Eutrope à Saintes : une sculpture innovante
Télécharger le texte - L'église Notre-Dame la Grande à Poitiers : une architecture nouvelle
Télécharger le texte - L'église Saint-Pierre à Aulnay : un livre d'images de pierre
Télécharger le texte - L'église de Saint-Savin : la « Sixtine de l'époque romane »
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Les rencontres
- Pierre Cazenave, conservateur régional des Monuments Historiques et Didier Delhoume, conservateur régional-adjoint de l'Archéologie, tous deux à la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Poitou-Charentes, évoquent la restauration future de la façade de la cathédrale d'Angoulême.
Télécharger le texte - Anne Embs, conservatrice régionale-adjointe des Monuments Historiques à la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Poitou-Charentes, et Brice Moulinier, restaurateur de peintures murales, expliquent la restauration effectuée sur les peintures de la chapelle templière de Cressac-Saint-Genis.
Télécharger le texte - Anaël Vignet, Directeur de l’Espace d’architecture romane et médiateur culturel à l’abbaye de Saint-Amant-de-Boixe, nous parle de son rôle de passeur de l'art roman.
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Le designer Mathieu Lehanneur nous parle de sa création dans l'église Saint-Hilaire à Melle, où il a réaménagé le chœur en faisant dialoguer les deux réalités, romane et contemporaine.
Télécharger le texte - Le public pendant la soirée d'ouverture des Nuits Romanes, le 28 juin 2014 à Saint-Savin. Organisé par la Région Poitou-Charentes, ce festival fête ses 10 ans et propose tout l'été quelque 170 soirées et 250 spectacles gratuits.
- Angoulême, cathédrale Saint-Pierre
Découvrir - Visiter - Aubeterre-sur-Dronne, église Saint-Jean
Découvrir - Visiter - Cressac-Saint-Genis, chapelle des Templiers
Découvrir - Lichères, église Saint-Denis
Découvrir - Marcillac-Lanville, église Notre-Dame
Découvrir - Saint-Amant-de-Boixe, abbaye Saint-Amant
Découvrir - Visiter
- Aulnay, église Saint-Pierre
Découvrir - Saintes, église Saint-Eutrope
Découvrir - Visiter - Saint-Sornin, donjon de Broue
Découvrir - Talmont-sur-Gironde, église Sainte-Radegonde
Découvrir - Visiter
- Le patrimoine roman de Poitou-Charentes, sur le site Patrimoine et Inventaire de la Région Nouvelle-Aquitaine, site de Poitiers.
- Monuments romans de Poitou-Charentes
- Portail de l'âge roman en Poitou-Charentes, réalisé par le Conseil des musées, avec le partenariat du Ministère de la culture et la Région Poitou-Charentes
- Le site de la Direction régionale des affaires culturelles de Nouvelle-Aquitaine
Crédits
UN WEBDOCUMENTAIRE DE LA RÉGION NOUVELLE-AQUITAINE
Pilotage et coordination :
Jean Jay, Yann Ourry
Rédaction des enrichissements et relecture :
Véronique Dujardin, Marie-Paule Dupuy, Yann Ourry, Christine Sarrazin, Catherine Tijou.
Intervenants :
Pierre Cazenave, Lætitia Copin-Merlet, Didier Delhoume, Anne Embs, Christian Gensbeitel, Marie-Anne Lacaille, Mathieu Lehanneur, Brice Moulinier, Rémy Prin, Christian Rémy, Anaël Vignet.
Journaliste :
Mélody Szymczak
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Montage : Filip Trad, Arnaud Chastanet
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Pilote drône additionnel : Romain Watier
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Journaliste : Mélody Szymczak
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